Microsoft fait tout pour convertir les utilisateurs à Windows 10 et force la migration vers ce système d’exploitation alors même que les utilisateurs n’ont rien demandé et ne le souhaitent pas.
Résultat, la firme vient d’être condamnée à verser 10 000 $ à une utilisatrice californienne qui a du aller en justice pour faire reconnaître ses droits. La migration forcée a eu lieu en août 2015. L’utilisatrice a pu démontrer que la migration forcée avait généré la perte de 17 000 $ de business. Son activité d’agence de voyages n’avait pu s’exercer correctement, des emails et des fichiers devenant inaccessibles.