La marque de produits d’hygiène beauté Energie Fruit privilégie les formules naturelles. Elle lance une plateforme B-heart, qui utilise la technologie blockchain afin de garantir la transparence et la traçabilité des produits et des matières premières de la marque.
Une marque Vegan, cruelty free et made in France
La marque Energie Fruit est commercialisée dans la grande distribution, la parapharmacie et le e-commerce. Energie Fruit est une marque Vegan, « cruelty free » et made in France. Une web-app permet aux consommateurs d’obtenir toutes les informations sur le produit. Via un système de QR Code imprimé sur chaque produit, le client aura accès via la blockchain à la composition du produit, sa provenance, ses fournisseurs, ses matières premières, sa formulation, sa date, son lieu et les étapes de fabrication, ainsi que son parcours. Le flash du QR Code s’effectue avec n’importe quel téléphone mobile, sans télécharger d’application spécifique.
La marque Energie Fruit est proposée par la société Bloomup. Bloomup se félicite d’être désormais en mesure de prouver ses engagements auprès de ses clients qui partagent les mêmes valeurs. L’application blockchain de traçabilité a été développée par la société Tilkal que l’on retrouve par exemple chez Joone, une marque de couches pour bébé. « Il était nécessaire de proposer un outil qui permette de donner le pouvoir aux consommateurs de s’informer et de choisir en toute connaissance de cause le produit qu’ils achètent » présente Maxime Finaz, directeur de Bloomup.
L’industrie de la cosmétique doit changer
Le dirigeant estime qu’il y a besoin de changement dans l’industrie de la cosmétique et qu’il faut pousser les marques à se responsabiliser davantage et à repenser leur chaîne d’approvisionnement afin d’assurer une traçabilité totale. « L’objectif à terme est de pouvoir choisir la totalité de nos parties prenantes sur le critère de la transparence et d’assurer un sourcing durable » dit-il. « Nous devons partir de la qualité des matières premières pour proposer les meilleurs produits aux consommateurs, et non l’inverse » conclut-il.